Ateliers semaines antiracisme 31.1.25-16.2.25

Fast die Hälfte der Menschen in Deutschland glaubt noch an die Existenz menschlicher Rassen.
Rassismus ist allgegenwärtig, kompliziert, widersprüchlich und verletzend.

Wollen wir verstehen, was passiert und Lösungen finden für die Klimakrise, Umweltzerstörungen und krasse weltweite Ungerechtigkeiten, müssen wir versuchen, Rassismus besser zu verstehen, zu erkennen und zu bekämpfen.

Es wird Dutzende unterschiedliche Online Vorträge mit Diskussion und Workshops geben, in denen wir uns weiterbilden, austauschen und organisieren können.

activiste*innen aus dem Kongo und Uganda berichten von ihren Erfahrungen und Perspektiven, es gibt intensive Workshops mit den Autor*innen der Broschüre „Kolonialismus und Klimakrise“ und auch Einblicke in die Gedankenwelt von Rechtspopulisten und noch vieles mehr 🙂

Schaut ins Programm und kommt dazu. Alle Angebote sind frei zugänglich.

Conférence et discussion avec Guillaume Kalonji 

Date/Heure :
31.1.25/18.30/20.30 XNUMXhXNUMX – XNUMXhXNUMX

Nombre de participants :
illimité

Langue:
Anglais

Lien en ligne :
uni-hamburg.zoom.us

L’envers de la transition énergétique

La notion de sécurité climatique n’est pas encore une priorité dans les discussions actuelles à travers le monde. Peut-être parce que nous ne savons pas encore ce que c'est. Pourtant, nous utilisons quotidiennement les produits de cette insécurité.

Le monde utilise les nouvelles technologies pour s’adapter à la crise climatique, voire pour lutter contre elle. Cela passe par la modification des modes de transport avec des véhicules électriques, des kits solaires… et même des outils comme les téléphones portables et les ordinateurs de nouvelle génération.

Ce progrès est rendu possible par l’existence de la RDC sur la carte du monde. Le monde tire de ce pays 70 % des ressources nécessaires pour réaliser ces objectifs. Ce n'est pas mal, c'est la solidarité internationale. Mais comment ont-ils accès à ces ressources ? Comment traitent-ils les habitants de la République Démocratique du Congo ? Quelle place donnent-ils à ce pays dans les affaires internationales ?

C'est pour cela que je suis devenu militant, et c'est de cela que je parlerai pendant les semaines antiracistes.

Conférence et discussion avec Florian Teller (Prévention de la radicalisation et engagement pour la conservation de la nature – FARN)

Date/Heure :
3.2.25/18.00/20.00 XNUMXhXNUMX – XNUMXhXNUMX

Nombre de participants :
illimité

Langue:
Anglais

Lien en ligne : us02web.zoom.us

L’écologie à droite : idéologies d’extrême droite en matière de protection de la nature et de l’environnement

Les acteurs démocratiques de la protection de la nature et de l’environnement ainsi que de l’agriculture (biologique) sont régulièrement confrontés à des demandes de coopération, à des stratégies d’appropriation et à des tentatives d’infiltration de la droite. Quelles sont les motivations des acteurs d’extrême droite pour s’impliquer dans ces domaines ? Quels objectifs poursuivent-ils ? L'atelier sensibilise aux liens historiques et actuels entre la nature allemande, la protection de l'environnement et les idéologies d'extrême droite. L'offre permet aux participants d'identifier les idéologies et les modes de pensée antidémocratiques et inhumains dans le domaine de la protection de la nature et de l'environnement. Sur cette base, des options d'action possibles dans le sens de la prévention et de l'intervention peuvent être développées et discutées.

Conférence et discussion avec Florian Teller (Prévention de la radicalisation et engagement pour la conservation de la nature – FARN)

Date/Heure :
4.2.25/18.00/20.00 XNUMXhXNUMX – XNUMXhXNUMX

Nombre de participants :
illimité

Langue:
Allemand

Lien en ligne : us02web.zoom.us

L’extrême droite entre déni du changement climatique et nationalisme climatique

Contenu: Les acteurs d’extrême droite nient le changement climatique anthropique ou voient la cause de la catastrophe climatique dans la croissance démographique des pays du Sud. Selon les destinataires, ces acteurs utilisent des stratégies différentes. Cela inclut la diffamation des militants ainsi que le récit de conspiration antisémite d’une élite (juive) opérant en secret. Dans le même temps, les forces antidémocratiques tentent de séduire les opposants à l’énergie éolienne avec des arguments sur la protection de la nature et des espèces. L'atelier présente les acteurs (d'extrême) droite et leurs positions dans le domaine de la politique climatique et énergétique et montre une contre-perspective solidaire de la justice climatique.

Conférence-débat avec Clarisse Akouala

Date/Heure :
5.2.25/18.30/20.30 XNUMXhXNUMX – XNUMXhXNUMX

Nombre de participants :
illimité

Langue:
Allemand

Lien en ligne : us02web.zoom.us

« Zoos humains » – une histoire avec Clarisse Akouala

Zoos humains. Les « zoos humains », symboles oubliés de l’époque coloniale, ont été complètement chassés de notre mémoire collective. Cependant, ces expositions d’exotisme ont constitué une étape importante dans le monde occidental sur la voie du racisme scientifique au racisme populaire.

Atelier avec Jamila

Date/Heure :
6.2.25/14.00/19.00 XNUMXhXNUMX – XNUMXhXNUMX

Nombre de participants :
Limité, veuillez arriver tôt

Langue:
Allemand

Lien en ligne :
us06web.zoom.us
Meeting-ID: 892 1578 6877
Kenncode: Ceu7NP

Atelier antiracisme

– un atelier sans erreur –

La lutte contre les structures de pouvoir racistes est une tâche qui incombe à la société dans son ensemble et commence par une réflexion personnelle critique sur sa propre position et ses privilèges. L'objectif de cet atelier est donc d'utiliser une approche intersectionnelle et sans erreur pour faire remonter nos hypothèses inconscientes à la surface et acquérir des connaissances sur les termes et les contextes politico-historiques (par exemple les continuités coloniales jusqu'à nos jours).

Dans la deuxième partie, nous nous réunirons et réfléchirons en petits groupes sur des sujets et des questions spécifiques qui sont importants pour votre contexte, par exemple comment nous avons contribué à une plus grande prise de conscience du racisme au sein de notre propre mouvement/environnement et comment nous, en tant que mouvement, pouvons nous identifier au racisme. Les succès électoraux de l'AFD peuvent être pris en compte.

Ici, nous pouvons échanger ensemble nos expériences et nos connaissances afin de développer des stratégies d’action. En fin de compte, nous les avons rassemblés afin de pouvoir agir de manière plus critique contre le racisme dans des situations concrètes de la vie quotidienne et dans nos relations.

Atelier avec Dodo et Nene

Date/Heure :
7.2.25 (Partie 1) et 13.2.25 (Partie 2) de 18.00h21.00 à XNUMXhXNUMX

Nombre de participants :
Limité, veuillez arriver tôt

Langue:
Allemand

Lien en ligne :
us06web.zoom.us

Mouvements climatiques, (in)justice climatique et racisme

Nous voulons travailler ensemble pour découvrir comment le colonialisme européen, la crise climatique et l’(in)justice climatique sont liés et comment la pensée coloniale et le racisme se reproduisent dans les mouvements climatiques allemands. Ensemble, nous réfléchissons aux discours et approches dominants et testons des stratégies et des options d'action pour introduire l'antiracisme et l'anticolonialisme dans les contextes des mouvements. Il y aura des exercices individuels et en groupe ainsi que des phases de contribution et de discussion. Nous sommes impatients de donner avec vous des impulsions précieuses et de prendre des mesures dans le processus de lutte contre le racisme !

Dodo effectue des recherches et travaille de manière décoloniale en tant que conseiller pédagogique dans les domaines de la protection du climat, de la critique du racisme et de l'extrémisme de droite. Dodo est politiquement actif et milite, entre autres, pour que les dimensions coloniales et racistes de la crise climatique soient au centre des enjeux climatiques. Dodo est co-auteur de la brochure « Colonialisme et crise climatique. Plus de 500 ans de résistance » et la publication « Je reviens un million de fois ! En hommage à la résistance anticoloniale, entre autres dans le cadre du projet KlimaDeSol.

BiNene (elle/elle) vient de Berlin Wedding et fait partie du Climate Justice Collective Berlin. En tant que consultante pédagogique, Nene travaille également dans le domaine de la critique de l’antisémitisme et du racisme.

Atelier avec Koko et Christina

Date/Heure :
10.02.2025 février 14 de 00h17 à 00h1 (Partie 13.02.2025) et jeudi 16 février 00 de 19h00 à 2hXNUMX (Partie XNUMX)

Nombre de participants :
Max. 20-25

Langue:
Allemand

Lien en ligne :
Partie 1: uni-augsburg.zoom-x.de
Partie 2: uni-augsburg.zoom-x.de

Blancheur critique et autoréflexion coloniale-critique dans le mouvement

Les deux ateliers visent à donner une impulsion blancheur et réfléchir sur la colonialité en tant que militants des mouvements sociaux émancipateurs. Nous allons entrer dans la première partie blancheur étroitement liés aux mouvements sociaux et réfléchissent à leur propre positionnement intersectionnel, ainsi qu'aux privilèges et privilèges associés dans un système de suprématie blanche. 

Sur cette base, dans la deuxième partie, nous traitons de la colonialité (c'est-à-dire les conditions, relations et logiques coloniales qui existent encore aujourd'hui) et réfléchissons à la question de savoir si et comment l'engagement politique dans les mouvements sociaux peut reproduire cela. Ensemble, nous développons des idées et des approches pour contrer la colonialité, en gardant toujours à l'esprit notre propre positionnement.

Conférence et discussion avec Nicolas

Date/Heure :
10.2.25/18.00/20.00 XNUMXhXNUMX – XNUMXhXNUMX

Nombre de participants :
illimité

Langue:
Anglais

Lien en ligne :
us06web.zoom.us

Le racisme dans les mouvements et les espaces climatiques

Le racisme ne se limite pas à des actes manifestes : il est profondément ancré dans les structures et les systèmes qui gouvernent notre monde, y compris les systèmes financiers et sociétaux. Bien que le racisme se manifeste sous de nombreuses formes, il touche de manière disproportionnée les Noirs à l’échelle mondiale.

Dans les mouvements et espaces climatiques, les Africains sont souvent les plus touchés par ce racisme systémique. Ils sont souvent symbolisés, placés en première ligne des campagnes et des crises, mais négligés lorsque leur bien-être ou leur voix est en jeu. Leurs histoires sont souvent racontées par d’autres, sans leur consentement ni représentation appropriée, perpétuant les cycles d’oppression et d’effacement.

Pour moi, c'est du racisme et de la discrimination. L’inclusion ne peut pas se faire par le biais d’un acte symbolique ou d’une exploitation. Si nous visons réellement à faire face à des crises interconnectées – climatiques, sociales et économiques – alors ces pratiques néfastes doivent changer.

La lutte pour la justice climatique doit aussi être une lutte pour l’équité raciale. Ce n’est qu’en démantelant ces injustices systémiques que nous pouvons espérer créer un avenir plus juste et plus durable pour tous.

Conférence et discussion avec Eden Tadesse 

Date/Heure :
11.2.25/18.30/20.30 XNUMXhXNUMX – XNUMXhXNUMX

Nombre de participants :
illimité

Langue:
Anglais

Lien en ligne :
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Décoloniser la politique – un atelier d'Eden Tadesse

Vous connaissez ce sentiment lorsque quelqu'un prend de grandes décisions concernant votre vie sans même vous le demander ? Eh bien, depuis des générations, c'est l'histoire de millions d'Africains. La main lourde du colonialisme laisse encore des traces sur tout, depuis la façon dont nous gérons nos pays jusqu’à la façon dont nous nous percevons.

En tant que femme africaine vivant en Europe, j'ai souvent ressenti le poids de l'histoire peser sur ma présence. Je pense souvent à cette tristement célèbre Conférence de Berlin – une salle remplie de puissances européennes découpant l’Afrique comme s’il s’agissait d’un gâteau, sans une seule voix africaine dans la salle. Il ne s'agissait pas simplement d'un partage de terres ; ce fut le début d’un héritage qui nous hante encore : des frontières tracées sans se soucier des cultures, des systèmes démantelés et des nations laissées dans un chaos total. Mais voici la question qui me anime : et si nous pouvions changer cela ? Et si nous pouvions réécrire les règles, amplifier les voix marginalisées et véritablement instaurer l’équité là où régnait autrefois la division ?

C'est exactement ce que nous aborderons dans cet atelier. Nous examinerons comment nous en sommes arrivés là et, plus important encore, comment créer un avenir où le pouvoir est partagé et où la justice n'est pas seulement une belle idée, c'est la réalité.

Vous voulez contribuer à remodeler l’avenir de la politique et à la faire fonctionner pour nous tous ? Rejoignez-moi le 11 février. Apprenez-en davantage et impliquez-vous https://decolonizepolitics.org

Conférence et discussion avec Nicolas

Date/Heure :
12.2.25/18.00/20.00 XNUMXhXNUMX – XNUMXhXNUMX

Nombre de participants :
illimité

Langue:
Anglais

Lien en ligne :
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Extractivisme, racisme, migration et crise climatique : des réalités interconnectées

Nous vivons dans un monde où la majorité mondiale bénéficie du confort aux dépens de la minorité mondiale. Ces déséquilibres systémiques sont profondément enracinés dans l’extractivisme, le racisme, la migration et la crise climatique – autant de problèmes interconnectés qui perpétuent l’injustice.

Commençons avec extractivisme. De nombreux pays européens prospèrent grâce à des ressources extraites d’autres continents – café, pétrole, énergies renouvelables, nourriture, etc. –, toutes issues de pratiques qui infligent souvent de graves injustices. Ces activités extractives déclenchent fréquemment des conflits dans les pays riches en ressources, laissant les communautés dévastées. Les femmes sont victimes d’agressions sexuelles, les enfants sont exploités comme travailleurs et des communautés entières perdent leurs terres et leurs moyens de subsistance, tout cela pour préserver le confort des autres.

Les impacts de l’extractivisme s’étendent bien au-delà de l’exploitation économique. Cela déstabilise les nations, obligeant de nombreuses personnes à fuir leur foyer à la recherche de sécurité et d’un avenir. Pourtant, dans ces nations consommatrices, les médias mettent rarement en avant l’exploitation et les conflits qui sous-tendent leur prospérité. Au lieu de cela, l’accent est souvent mis sur le contrôle des migrations, ignorant les causes profondes.

Abordons maintenant migration. En Afrique, les conflits liés aux ressources, les dettes croissantes, les impacts du changement climatique et les crises économiques créent des conditions de vie insupportables. Les gens sont contraints de fuir leurs foyers, à la recherche de sécurité et de stabilité ailleurs. Beaucoup migrent vers l’Europe, les États-Unis et d’autres pays, fuyant des crises qu’ils n’ont pas provoquées.

Cependant, au lieu de rendre des comptes, ces pays hôtes nient souvent leur rôle dans l’escalade de ces crises. Ils diffusent de la désinformation et de la propagande pour retourner leurs populations contre les migrants. Ils rejettent les histoires que ces personnes ont à partager sur les gouvernements et les systèmes qui ont déraciné leurs vies, perpétuant les cycles de négligence et d’hostilité.

L'interconnexion
L’extractivisme alimente les conflits, l’instabilité économique et la dégradation de l’environnement, qui entraînent des migrations forcées. Le racisme exacerbe cette situation en déshumanisant ceux qui fuient et en justifiant l’exploitation de leur pays d’origine. La crise climatique aggrave encore ces problèmes, affectant de manière disproportionnée ceux qui ont le moins contribué à ses causes.

Conférence et discussion avec Isaac Mark TSONGO MALESE, journaliste, chercheur et militant des droits humains à AFRICA GLOBAL VIEW/A-GV ! (via François)

Date/Heure :
13.2.25/18.30/20.30 XNUMXhXNUMX – XNUMXhXNUMX

Nombre de participants :
illimité

Langue:
Anglais

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Vision globale du racisme : quelle couleur a plus de valeur qu’une autre

Face à ce problème, peu importe comment et quand les gens peuvent décrire le racisme, permettez-moi de dire quelque chose qui peut sembler blessant mais qui est totalement réel : Les Africains, victimes de différentes anti-valeurs depuis plus de quinze siècles, n'avaient jamais entendu parler d'une couleur ou d'une autre et aucun ne pouvait imaginer que quelque chose de simple comme la « couleur » puisse faire une certaine différence dans les créatures de Dieu, car de par leur essence ils connaissaient que l’être humain est un et absolument un ; mais ce qui est étonnant c'est que les Occidentaux, une fois arrivés sur le sol africain, ont semblé minimiser les habitants de la terre simplement parce qu'ils sont noirs, ce qui a porté préjudice aux Africains et a ouvert la voie à la haine. En fait, après avoir approfondi mes recherches basées sur la _dignité des Africains noirs, en me souvenant de la _Traite transatlantique des esclaves_ qui a déshonoré les Africains, j'ai conclu que les Africains sont plus pacifiques parce qu'ils ne se soucient même pas des conséquences d'une marginalisation d'une manière ou d'une autre. à cause du racisme ou de toute autre forme de discrimination ! Au cas où, la discrimination raciale aurait pu être abolie depuis l’époque des combattants de la liberté noirs afro-américains tels que Marcus Garvey, Claude Mackey, Langston Hughes et d’autres Africains comme Cinua Achebe. En prenant l'exemple des immenses légendes de la musique reggae africaine, LUCKY DUBE Philip, vous comprendrez avec moi que, même si ses amis et membres de couleur noire ont été sauvagement traités pendant l'apartheid, il n'a pas suscité la haine des blancs, il a continué à sensibiliser les gens sur le fait que nous sommes des couleurs différentes bien sûr mais un seul peuple ! Le même combat a été mené par Martin Luther King dont le rêve semble se réaliser.

Conférence et discussion avec Parfait Mushanganya de Rise up Congo

Date/Heure :
14.02.2025 18:30-20:30 Uhr

Nombre de participants :
illimité

Langue:
Anglais

Lien en ligne :
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Déforestation – un atelier avec 

Depuis 10 ans, la RDC est l'un des pays les plus polluants de la planète, non pas par ses émissions de gaz à effet de serre car elle n'en a pas, mais par sa déforestation qui a augmenté de façon exponentielle et qui contribue au rejet de grandes quantités. de CO2 émis dans l’atmosphère et détruit l’environnement.

Cela place le pays parmi l'un des dix taux de déforestation les plus élevés au monde, le pays possède la 2ème plus grande superficie de forêt primaire détruite en 2020, après le Brésil. La destruction des forêts, notamment en cas de défrichement par incendie ou par abattage d'arbres, provoque la formation de gaz à effet de serre très nocifs pour le climat, la perte de biodiversité, l'apparition de maladies néfastes et la santé des femmes et des enfants. lorsque cuisiner au bois reste en danger.

Malgré tout cela, nous constatons également que la forêt du bassin du Congo est actuellement menacée, alors qu'elle est un régulateur de précipitations sans égal dans la région de l'Afrique centrale, tandis que les peuples autochtones qui y vivent subissent des violations des droits humains et que leurs habitants sont détruits chaque année. La déforestation est l’un des problèmes majeurs qui menace non seulement la planète, mais aussi la race pygmée.

Conférence et discussion avec Mellia Katavali Assy

Date/Heure :
15.2.25/15.30/17.30 XNUMXhXNUMX – XNUMXhXNUMX

Nombre de participants :
illimité

Langue:
Français avec traduction en allemand ou anglais

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RACISM AS A TOOL FOR THE UNDERDEVELOPMENT OF SOUTHERN COUNTRIES

Before going into detail on this subject, let me say that I’m astonished to be talking about racism today. For I believe that in the 21st century, we will no longer talk about the concept of racism.

I think people should understand that racism has held back the development of countries around the world, and in this case the countries of the global South, whose development is still lagging behind because of the myth built around white supremacy. For example, Africa is paying for the pollution caused by Western industries, and we think this is normal, but it’s not.

Racism has meant that black ideas continue to be nipped in the bud, and yet black innovations should be promoted and encouraged for the development of Africa and the whole world.

The question every person would ask themselves today would be, is what I’m doing today useful for myself and for others?

It is on this basis that we can together eliminate racism, which has become an inescapable scourge for the development of Africa.

This question should be asked in all areas of life (political, economic, environmental, social, etc.).During this anti-racism week, we should pay tribute to those who gave their youth and even their lives in the fight against racism. These are people like Martin Luther, Bob Maley, Marcus Garvey, Web du Bois etc,,, As activists we must embody the ideology of these people to develop Africa, which continues to be systematically plundered by the white man on the grounds that he is seeking to develop it.

Conférence et discussion avec François Kamate

Date/Heure :
15.02.2025 18:30-20:30 Uhr

Nombre de participants :
illimité

Langue:
Anglais

Lien en ligne :
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LE RACISME COMME MOYEN DE PERPÉTUER LE COLONIALISME ET L’IMPERIALISME EN AFRIQUE

Le racisme est une forme de discrimination, une hostilité violente envers un groupe humain, qui à la fois incite à la haine et encourage la violence verbale ou physique.

Depuis plusieurs décennies, on observe des pratiques racistes au sein de nos communautés, visant à exclure une catégorie de personnes au détriment des autres pour des raisons de race, etc. Avant les indépendances des pays africains, l'homme noir a vécu les pires moments de sa vie sur cette terre. Toutes les formes de violences sans précédent lui ont été infligées. Et à la moindre résistance, il subirait de nombreuses tortures, au point même de perdre la vie. Les Noirs étaient complètement exclus de la gestion des affaires publiques et servaient pour le reste de leur vie comme esclaves de leurs maîtres blancs. L'animal avait plus de valeur que l'homme noir. À tel point que même lors de grandes réunions, des animaux tels que des chats et des chiens se voyaient attribuer des places réservées, tandis que les hommes noirs se voyaient refuser ces places en raison de leur race.

Women and men who devoted a large part of their lives to fighting against the racism of which they were victims, and were thus violently repressed or even murdered. Such is the case of people like Harriet Tubman, Steve Biko in South Africa, Malcolm x, Martin Luther, Assa Traoré, etc. In Africa, for example, racism manifests itself in almost every area of life (education, health, politics, economics, etc.).

Dans le monde humanitaire, le racisme est devenu un mode de gouvernance pour les ONG. Cela se voit dans les conditions de vie et de travail. Un travailleur noir et un travailleur blanc ne bénéficient pas du même traitement en matière de salaire. Nous voyons toujours des Blancs bénéficier de nombreux avantages que les Noirs n’ont pas. Un bon exemple en est la Banque mondiale et le Fonds monétaire international, qui envoient toujours leur personnel dans les pays africains pour superviser l'argent qu'ils vous accordent sous forme de prêts, qui finit toujours à Erupoe et aux États-Unis avec des salaires exorbitants. de l'homme blanc. Ainsi, pour eux, l'homme noir n'a pas la capacité de gérer l'argent qu'on lui donne et a toujours besoin de la présence de l'homme blanc pour le gérer rationnellement. Et c’est là du pur colonialisme en perpétuel développement, auquel il faut mettre un terme.

QUE POUVONS-NOUS FAIRE?

En tant que mouvements sociaux antiracistes du Nord et du Sud, la lutte contre le racisme doit être l’un de nos fronts prioritaires pour mettre fin au système d’exploitation et de domination dans lequel les impérialistes ont plongé les pays en développement. Cette semaine consacrée à la lutte contre le racisme est un moment opportun pour que chacun s'engage à abolir ce genre de pratiques, qui sont à l'origine du sous-développement de l'Afrique et de ses populations. En d’autres termes, il est dans l’intérêt de tous les mouvements d’unir leurs forces pour permettre aux Noirs de se sentir respectés et capables d’apporter le changement positif qu’ils souhaitent voir.

Atelier avec Angela Asomah et Lea Dehning

Date/Heure :
16.2.25/18.30/21.00 XNUMXhXNUMX – XNUMXhXNUMX

Nombre de participants :
illimité

Langue:
Allemand

Lien en ligne :
fu-berlin.webex.com

Atelier sur (in)justice climatique

Les deux intervenants ont notamment coordonné le projet « Locals United » : https://www.bundjugend.de/projekte/locals-united/. Tous deux animent des ateliers et donnent des conférences sur des sujets tels que la justice climatique, l’autonomisation, la blancheur critique et l’intersectionnalité. Angela travaille actuellement à Each One Teach One et Lea étudie les géographies des inégalités mondiales à la FU.

L’atelier abordera les injustices climatiques suivantes :

– Quel est l’impact intersectionnel des changements climatiques (sur différentes formes d’oppression en même temps) ?

– Quelles structures postcoloniales façonnent notre débat et notre politique climatique ?

– Comment pouvons-nous promouvoir la justice climatique ?

Veuillez consulter au préalable la brochure Colonialisme et crise climatique : https://www.bundjugend.de/produkt/kolonialismus-und-klimakrise-ueber-500-jahre-widerstand/

N'hésitez pas à apporter une idée ou une campagne passée ou future. Nous souhaitons nous demander comment rendre votre idée ou votre campagne plus respectueuse du climat. Peu de connaissances préalables sur le sujet sont requises. L'atelier se déroulera en allemand.